dimanche 24 mars 2013

Crowdsourcing: amateurs ou experts alimentent la nouvelle

Les réseaux sociaux font maintenant partie du quotidien d'une multitude d'individus et d'entreprises. Un simple coup d'oeil aux statistiques d'utilisateurs mensuels est éloquent. Que cela soit pour trouver de l'information sur tous les sujets imaginables, pour savoir ce qui se dit sur un sujet, pour avoir des nouvelles de nos proches ou pour être branché sur l'actualité. Mais aussi, pour produire de l'information en annonçant un évènement ou un produit, diffuser des photos pendant une manifestation, une guerre, un spectacle, écrire dans un forum de discussion ou alimenter un blogue. C'est ainsi que par le biais de diverses activités, nous contribuons au contenu du web. Un bel exemple de l'utilisation des contenus généré sur les réseaux sociaux est celui du journal The New York Times.
C'est en suivant les actualités sur Twitter que je me suis arrêté à une entrevue intéressante réalisée par Olivier Cimelière, auprès de Jennifer Preston, rédactrice en chef de la newsroom "Social Media" du  New York Times sur le CrowdSourcing et le UGC (User Generated Content).

Pour elle, il n'y a pas de doute que le contenu d'un média doit s'inspirer, d'une part par les médias concurrents, mais également par des contenus produits par des citoyens ordinaires, aussi appelés les journalistes citoyens. Par le biais des réseaux sociaux, le journaliste a une opportunité exceptionnelle de trouver de nouvelles sources d'informations qui font l'actualité, qui intéressent les lecteurs ici et maintenant, et ce, partout dans le monde. Toutefois, il doit avoir une excellente capacité de curation de contenu et évidemment, s'assurer de la réputation de la source.

C'est un exemple concret de l'apport collectif aux actualités qui intéressent population, car il est inspiré de ceux qui la compose.



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